J’ai lu tant de livres d’Agatha Christie ! Et pourtant quand j’ai vu la sortie en poche de « La toile d’araignée », j’ai été interpelée : je ne le connaissais pas, celui-ci ! Et pour cause : il s’agit d’une pièce de théâtre d’Agatha Christie qui a été adaptée en roman par Charles Osborne (je me souviens avoir lu « Black coffee » adaptée en roman par le même Charles Osborne). J’étais un peu hésitante : allais-je retrouver l’ambiance Christie dans une adaptation ?
La réponse a été OUI, dix fois OUI !
D’abord pour l’histoire : Clarissa, qui s’ennuie dans sa nouvelle maison, passe son temps à mentir pour inventer des situations incroyables et taquiner ses interlocuteurs. Sauf qu’aujourd’hui, Clarissa ne joue plus : elle a trouvé un cadavre dans son salon. Et ce cadavre n’est pas celui de n’importe qui : c’est l’homme qui a épousé l’ex-femme de son mari. Mais qui croira Clarissa quand elle dira être innocente, elle qui a déjà tant menti ? Et comment protéger celle qui se dénonce pour ce crime ?
Tout cela se joue en huis-clos, avec un nombre réduit de personnages, ce qui donne l’impression au lecteur d’assister à une pièce de théâtre, même si le récit est écrit comme un roman pour plus de confort de lecture. Le rythme aussi est celui d’une pièce de théâtre, avec ses rebondissements en fin de chaque chapitre qui rappellent les fins de scènes ou les changements d’acte.
J’ai dévoré ce livre, plein de suspense, de rebondissements, et qui m’a tenue en haleine jusqu’aux dernières pages. Je suis très contente de cette lecture !
Ed du Masque, 6,40€
J’avais vu des affiches sur la série adaptée de ces mangas ; c’est ce qui m’a donné envie de découvrir la version livre.
Anna, ex business woman reconvertie en boulangère, découvre qu’elle est atteinte d’un cancer du sein.
J’avais adoré le
Quel bonheur d’avoir découvert ce roman jeunesse !
Ce deuxième tome est la parfaite continuité du premier.
Quand Myamoto entre dans la bibliothèque de « La Rose trémière », c’est tout un univers qu’il y découvre : il y a cette maman surprotectrice qui y passe des heures avec son fils, des enfants, deux jeunes filles charmantes qui y sont employées. Mais surtout, il y fait la connaissance de Mikoshiba – le personnage central de l’histoire. C’est lui, le « maître des livres ».
Je n’avais pas lu le premier tome de cette série, « Bretzel et beurre salé », même si je l’avais souvent vu bien mis en avant dans les librairies. J’aime beaucoup les cosy, cela ne vous aura pas échappé, mais bizarrement je n’avais pas sauté sur celui-ci – il a fallu le hasard d’une bibliothèque pour me mettre entre les mains le deuxième tome.
J’ai d’abord été interpelée par le titre : des « meurtres qui font du bien » ? dans une collection qui s’intitule « Les meurtres zen » ? Avouez que ce n’est pas banal !
« Son Espionne royale » fait partie de ces lectures réconfortantes, que j’aime avoir sur ma table de chevet. Je l’avais acheté dès sa sortie, puis gardé « sous le coude » , et j’ai pris un grand plaisir à le lire ces jours-ci.