J’ai la chance de connaître parmi mes amis et connaissances quelques auteurs. Je lis toujours leurs écrits ou romans avec beaucoup d’intérêt et de curiosité, d’abord parce que j’ai toujours plaisir à découvrir un nouveau texte, mais aussi parce que j’aime voir ce que l’auteur que je connais a choisi de mettre de lui dans son roman.
Découvrir le roman d’Eric a été un vrai plaisir. Je connais son amour des littératures – je mets un pluriel car il aime des textes de styles et d’époques variés – j’aime son enthousiasme permanent et sa verve joyeuse, et je voulais voir ce qu’il en mettrait dans son roman.
Dans son roman, j’ai surtout trouvé la plume d’un vrai auteur, qui a des choses intéressantes à dire, qui sait raconter une histoire et tenir le lecteur de page en page, et tout cela avec un style très agréable, érudit et accessible, comme Eric sait d’ailleurs l’être dans la « vraie vie ».
L’histoire est celle croisée de deux jeunes hommes, François en Allier et Yvan en Irlande, qui se battent sans armes mais avec leur conviction et leurs mots pour établir un ordre plus juste entre métayers et propriétaires terriens. Chacun, dans sa quête, sera secondé d’une belle femme – à deux on est plus forts…
Le texte est un voyage historique (j’ai beaucoup appris sur le métayage) et géographique puisque la moitié du roman se déroule en Irlande, cette « terre de colère ». Le roman mêle érudition historique et nombreuses références littéraires
L’écriture est vive, le style très plaisant, et j’ai retrouvé quelques marqueurs qui tiennent à cœur à Eric, comme le débredinoir de Saint-Menoux (allez voir au passage le blog Débredinages de l’auteur!), ou ce joli détail d’écriture qui consiste à parler d’Amitié avec le même grand « A » que celui du grand Amour.
Si ce roman est aujourd’hui auto-édité, il aurait toute sa place dans une librairie traditionnelle.
Auto-édition, disponible sur Amazon (broché et Kindle)
De l’histoire d’amour entre Romy Schneider et Alain Delon, je ne connaissais que quelques images maintes fois diffusées à la télévision, celles où l’on voit Delon accueillir Romy à sa descente de l’avion, juste avant le tournage de « La Piscine ». Ce sont d’ailleurs ces images qui m’avaient donné envie de voir le film. A ce moment-là, ils étaient déjà séparés.
Dans ma première chronique sur « Les enquêtes de Lady Rose », je disais trouver cette série différente de celle des « Agatha Raisin », de la même auteure. Mais au fil des tomes, je trouve de plus en plus de points communs entre les deux héroïnes. Indépendantes, rebelles, avec un mauvais caractère mais un bon fond… finalement elles se ressemblent !
Certaines lectures sont des bonheurs d’enfance inoubliables. Je me souviens de mon plaisir de lecture avec les aventures du Petit Nicolas, ses copains bagarreurs, celui qui était le chouchou de la maîtresse et celui qui mangeait tout le temps des pains au chocolat… Et bien sûr, le style inimitable de Goscinny pour raconter ces histoires avec la voix d’un enfant, et le dessin reconnaissable entre tous de Sempé.
Lire une histoire de pandémie a pris une autre dimension depuis deux ans, et une résonance particulière.
J’ai lu récemment un excellent roman psychologique, «
Une partie de moi s’était dit que, cette année, je lirai un peu moins de cosy mysteries – j’en ai lu beaucoup l’an dernier, et j’y ai même consacré une rubrique sur mon blog. Mais une autre partie de moi a beaucoup de mal à résister à ces romans plaisants, faciles à lire ou à écouter, et qui permettent tout simplement de passer un moment agréable !
Si vous pensiez qu’internet avait aboli en partie les frontières, c’est bien peu de chose par rapport à ce que Michel Bussi imagine pour 2097. Les frontières ont vraiment disparu depuis que les humains sont capables de se téléporter. En une fraction de seconde, ils peuvent se déplacer au bout du monde.
Dans la catégorie des thrillers psychologiques, « Mrs March » est un très bon cru.
Chine, de nos jours.