J’ai bien fait d’attendre la sortie du tome 2 (sur 2) de cette aventure de Sherlock Holmes, car le 1er tome s’est refermé en plein suspense (au milieu de l’histoire, donc).
Le second tome s’ouvre dans la parfaite continuité du premier, après une petite page de résumé – mais je conseille à ceux qui ont lu le début de l’histoire il y a longtemps, de le relire avant d’entamer celui-ci. On continue donc à suivre le cheminement de la pensée de Sherlock Holmes, représentée par un fil rouge qui relie entre eux les indices accumulés au fur et à mesure que l’enquête progresse. L’histoire est bien menée, l’enquête rythmée (à part quatre pages un peu longues à la fin de l’histoire, qui n’apportent pas grand-chose, le dénouement étant déjà connu). Les décors sont toujours aussi soignés ; je vous invite à regarder le Royal Albert Hall, extérieur et intérieur. J’aime bien aussi les dessins « dans la tête de » Sherlock Holmes, plutôt amusants avec leurs systèmes , poulies, tuyaux etc. Le lecteur est aussi sollicité pour regarder des pages en transparence ou les recourber ; c’est plutôt anecdotique dans l’histoire mais cela reste distrayant.
Les deux tomes forment un bel ensemble, agréable à lire, à feuilleter, et même à offrir les yeux fermés pour la qualité du travail réalisé, qui dépasse largement les petites nuances que j’ai soulignées.
Ankama, 48 pages, 14,90€
J’attendais la sortie du 2
Si vous avez lu mes dernières chroniques, il ne vous aura pas échappé que je me suis enthousiasmée pour les écrits de Paul-Emile Victor – j’ai déjà chroniqué les 2 premiers tomes de ses « œuvres autobiographiques ».
Ah le bonheur des « lectures doudou », ces lectures que l’on retrouve pour passer juste un bon moment ! Clairement cette série des « Enquêtes d’Hannah Swensen », dont j’ai lu trois tomes jusqu’ici, fait maintenant partie de ces lectures que je vois arriver sur ma PAL avec gourmandise (et pas seulement parce qu’il y est question de pâtisserie), à côté des « Agatha Raisin » et autres « Espionne royale ».
Alex Serra est inspectrice à Barcelone. Ecartée de son équipe à cause d’une bavure (qui restera assez bizarrement inexpliquée d’ailleurs), sa dernière chance de se racheter est de mener à bien une nouvelle enquête. Pour cela, elle doit élucider le meurtre d’un homme retrouvé mort avec les paupières cousues. Elle va devoir faire équipe avec un policier français.
Je suis très friande de sagas familiales, et j’avais hâte de démarrer la lecture de « La huitième vie ». Le fil rouge du roman est de retracer l’histoire d’une famille, à travers ses figures féminines emblématiques au fil des générations. L’histoire est racontée par une femme qui vit de nos jours et veut transmettre cette histoire familiale à sa nièce.
J’adore les romans de Pierre Lemaitre. J’ai découvert cet auteur avec ses polars, bien avant son prix Goncourt pour « Au revoir là-haut ». Depuis « Couleurs de l’incendie », roman qui m’avait subjuguée, je dis souvent que c’est mon auteur préféré.
Fin du XIXème si