J’ai déjà chroniqué sur ce blog les deux premières aventures de Sayer Alter (« Rituels » et « Sacrifices »). Elle est agent spécial du FBI, spécialiste des psychopathes. C’est donc avec un a priori très positif que j’ai démarré la lecture de ce roman, et je l’ai dévoré jusqu’à la dernière ligne et son ultime rebondissement.
Sayer est toujours au FBI, cette fois-ci en mission pour élucider la disparition d’un car d’étudiants. Les garçons ont été retrouvés morts ; qu’est-il arrivé aux filles ?
Comme dans les deux précédents romans, l’intrigue est menée tambour battant, créant l’urgence de lire le chapitre suivant et semant de multiples pistes et rebondissements vraiment bien construits. A la moitié du livre, l’intrigue semble résolue ; évidemment on se doute que ce n’est pas possible, et voilà l’intrigue relancée dans la seconde partie du roman.
J’ai trouvé le roman moins glauque que les deux premiers (toutes proportions gardées), en tout cas avec moins de détails insoutenables à la lecture – je me souviens dans les précédentes lectures avoir eu besoin de temps de pause pour digérer.
Des références à l’Egypte antique, en fil rouge du roman, apportent une petite dose d’énigme et d’Histoire. Il y en aurait eu un peu plus, cela ne m’aurait pas dérangée.
Je ne peux pas vous révéler certains événements, mais quelques révélations sur les personnages étaient un peu attendues. L’auteure manie avec talent la dissémination de pistes, d’indices, de petits faits dont les lecteurs paranos peuvent s’emparer avec délectation et imaginer des « et si » « et si » à l’infini… certains se réalisant vraiment, d’autres étant des bouteilles à la mer que l’auteure saura (j’en suis sûre!) repêcher dans les prochains opus.
Cherche Midi, 448 pages, 21€
J’ai lu ce 26
J’ai commencé ce tome. Je l’ai reposé (j’avais un autre roman sur ma PAL qui me faisait de l’oeil). Je l’ai repris plus tard. Je l’ai lu en entier.
J’ai lu Agatha Christie.
J’ai découvert cette série des « Trois Brestoises » avec
J’ai déjà lu des romans de
Je lis beaucoup de cosy mysteries, j’ai commencé un certain nombre de séries, et ce qui est plutôt bon signe, c’est quand j’attends avec impatience de démarrer la lecture d’un nouveau tome. Je viens de lire le tome 3 il y a peu de temps, et le tome 4 m’attendait. J’avais très envie d’en démarrer la lecture, mais je me suis dit « allez, j’attends un peu, je le garde de côté, je vais lire un autre roman entre les deux ». Sauf que je n’ai pas réussi à commencer ledit roman, et que j’ai vite sorti « Meurtres et tarte au citron meringuée » de la pile où il m’attendait.
Ah le bonheur des « lectures doudou », ces lectures que l’on retrouve pour passer juste un bon moment ! Clairement cette série des « Enquêtes d’Hannah Swensen », dont j’ai lu trois tomes jusqu’ici, fait maintenant partie de ces lectures que je vois arriver sur ma PAL avec gourmandise (et pas seulement parce qu’il y est question de pâtisserie), à côté des « Agatha Raisin » et autres « Espionne royale ».
Alex Serra est inspectrice à Barcelone. Ecartée de son équipe à cause d’une bavure (qui restera assez bizarrement inexpliquée d’ailleurs), sa dernière chance de se racheter est de mener à bien une nouvelle enquête. Pour cela, elle doit élucider le meurtre d’un homme retrouvé mort avec les paupières cousues. Elle va devoir faire équipe avec un policier français.
J’étais assez intriguée par cette couverture sombre. Qui était donc cette femme au visage à moitié caché ? Très vite le début du roman nous éclaire sur ce point : Céleste Ibar, brillante policière réputée pour son excellence à mener des interventions, a aussi été une victime, et son visage balafré témoigne encore d’une agression qu’elle a affrontée.