Le Salon du livre de Paris, qui s’est tenu en mars, est un rendez-vous incontournable pour moi. Je m’y sens comme un enfant dans une ludothèque, j’ai l’œil qui brille et je butine d’un stand à l’autre, alléchée par la nouveauté.
Comme chaque année, j’ai évité les stands des grandes maisons d’édition ; n’y voyez pas un quelconque snobisme de ma part, mais seulement je ne vais pas au Salon du livre pour y trouver le dernier livre à la mode, celui qui bénéficie d’une belle publicité en vitrine, et qui est bien visible sur tous les étals des libraires. J’y vais pour trouver la pépite à peine visible, celle qui réveille ma curiosité.
Une de mes belles découvertes de cette année est une maison d’édition qui n’est pourtant pas une jeunette puisqu’elle affiche déjà presque trente ans de publications : Le Verger éditeur. Et me voilà découvrant comme premier ouvrage une nouvelle publiée dans la collection « Sentinelles ». Lire la suite