Dès les premières pages apparaît Hercule Poirot. En voyage sur les bords de la Mer Morte, il surprend une conversation étonnante : deux voix projettent de tuer une femme. Mais Hercule n’en saura pas plus… en tout cas, jusqu’à ce qu’on vienne le solliciter pour résoudre un meurtre !
La victime est une matriarche despotique, qui tient ses enfants sous son joug. Ils sont pourtant adultes, mais aucun n’arrive à échapper aux griffes possessives de la vieille femme.
Ses enfants et sa belle-fille ont pourtant tous de bonnes raisons de se débarrasser d’elle : outre l’héritage conséquent dont ils profiteront, ils seront surtout libres, enfin !
C’est un très bon roman d’Agatha Christie. Une fois de plus, l’énigme se déroule à l’autre bout du monde, dans un décor propice au dépaysement pour le lecteur. On y retrouve un microcosme formé par une famille soudée et atypique, et par un duo de médecins qui les observent. La victime est un personnage détestable, ses enfants sont pathétiques, seuls les amis externes à la famille apportent un peu de lucidité dans cet univers !
Citer Hercule Poirot dès le début du roman est une bonne idée, car on le revoit ensuite assez tardivement dans le roman (il faut avoir passé les 100 premières pages). Et moi, ça me rassure de savoir que c’est un roman avec Hercule Poirot ! Dans tous ceux que je relis dans le cadre du #ReadChristie2023, ce sont toujours ceux avec le petit détective belge qui me plaisent le plus.
Je ne m’appesantirai pas sur la couverture rose de cette édition, que je ne trouve pas très réussie, et pour laquelle le choix d’un ventilateur en plastique est complètement anachronique.
Le Livre de poche, 101 pages, 7,40€
J’adore cette série d’enquêtes de « Carter & Campbell ». Je les ai tous lus, mais dans le désordre car, si les visuels des couvertures sont assez reconnaissables, il n’est indiqué nulle part que c’est une série, et il n’y a pas de numéro de tome non plus. Enfin bref , maintenant j’ai rattrapé mon retard et je guette avec impatience les nouvelles parutions.
Tête de fesses est de retour ! Le chat le plus diabolique de la littérature jeunesse revient dans un 5
Cette collection de petits livres propose un point de vue très attractif : et si les grandes œuvres nous étaient racontées de l’intérieur ? Si par exemple, le célébrissime tableau « Olympia » de Manet était raconté par Victorine Meurent, le modèle qui donne ses traits à Olympia ? C’est très original comme approche !
Cassie, la meilleure amie de Gemma, file le parfait amour avec un galeriste. Mais lors d’un vernissage, une femme s’effondre, morte. Elle était amoureuse du galeriste, qui repoussait ses avances trop pressantes. Par ailleurs c’était une vraie peste, détestée de tous ceux qui la connaissaient. Les suspects ne manquent pas !
Dans la catégorie des cosy mysteries sur fond de pâtisserie, j’étais déjà une grande adepte de la série des « Hannah Swensen » (déjà 8 tomes lus et j’attends le 9
Quel beau roman autobiographique !
Dès les premières pages, le lecteur sait que ce « festin » se terminera mal.
Tous les lecteurs de Marcel Proust et ceux qui s’intéressent à sa vie connaissent forcément ce prénom : Céleste.
Elle habite une jolie maison, est mariée, mère de deux enfants. Après quinze ans de mariage, elle est toujours amoureuse de son mari. Mais c’est un amour maladif, jaloux, possessif, excessif.