J’avais beaucoup entendu parler de ce roman, mais bizarrement sans en connaître l’histoire. D’ailleurs je vais essayer de vous en dire le moins possible sur l’histoire pour ne pas vous gâcher le plaisir de comprendre quelle est cette anomalie qui donne son titre au roman.
C’est toujours difficile de donner son avis sur un roman qui a reçu le prix Goncourt, surtout quand il a eu du succès en librairie ! En vanter les qualités, c’est inutile (les jurés du Goncourt n’ont pas attendu mon avis ;-)) ; n’être pas assez enthousiaste, c’est ne pas avoir compris le chef d’oeuvre…
Tant pis je donne quand même mon avis… et il est un peu réservé.
En fait, le thème du roman est très bien trouvé, pas totalement inédit ou révolutionnaire, mais suffisamment quand même pour créer des passages originaux et pour interpeller le lecteur – comment aurions-nous vécu cette situation ?
Ce que je regrette, c’est le trop long démarrage du roman. Il y a certes la partie intéressante, celle d’un avion Paris-New-York pris dans les turbulences – et le lecteur tremble en même temps que les passagers.
Et puis il y a ces longs chapitres qui racontent la vie des passagers, qui m’ont ennuyée, et qui n’ont d’ailleurs qu’un demi-intérêt pour la suite du roman. Il y aurait eu moins de personnages, ou moins de détails sur chacune de leur vie, cela aurait fonctionné quand même…
Il y a quand même de bonnes trouvailles, et une fois passées les 150 premières pages que j’ai trouvées trop longues, la suite est plus captivante.
Folio, 416 pages, 8,90€
Quand de riches retraités s’ennuient dans leur maison de retraite tout confort, ils ne créent pas un club de mots croisés mais un murder club ! Chaque jeudi, ils sont quelques uns à se retrouver pour tenter d’élucider de vieilles affaires criminelles jamais résolues. Il y a Elisabeth, la meneuse du groupe ; Ron l’ancien politique et Ibrahim l’ancien psy. Et depuis que Penny est dans un coma définitif, Joyce l’infirmière complète le groupe.
J’ai lu avec avidité les six tomes de «
J’ai lu ce classique d’Agatha Christie il y a bien longtemps, et j’en avais oublié l’histoire. Sans doute est-ce d’avoir entendu parler de la nouvelle adaptation cinématographique il y a quelques mois qui m’a donné envie de lire cette BD – j’en ai déjà lu plusieurs dans cette collection.
Ainsi s’achève l’incroyable, l’incomparable saga « Blackwater ».
Si la scierie familiale a toujours permis aux Caskey de bien vivre, leur fortune colossale se construit dans ce tome autour d’une autre richesse : le pétrole. Tandis que Miriam gère d’une main de maître les intérêts économiques de la famille, Frances est plus que jamais centrée sur sa vie familiale. Elle est enceinte et cette grossesse va nous apporter de nombreuses révélations.
Je poursuis ma lecture quasi frénétique de « Blackwater », à raison d’un tome tous les 2 ou 3 jours.
Ce troisième tome s’ouvre sans explication sur un bond de quelques années dans le temps – à tel point que j’ai vérifié deux fois que je n’avais pas oublié de lire un tome !
J’ai trouvé ma saga de l’été ! (comme beaucoup d’entre vous, d’ailleurs…)
J’ai acheté ce livre uniquement parce que la couverture était jolie, originale. Je n’avais pas du tout vu la campagne de lancement médiatique de cette version française (publier 1 tome tous les 15 jours, comme un feuilleton) – d’ailleurs je n’avais même pas vu que « La Crue » était le premier tome d’une série de 6 !