C’est la troisième adaptation BD d’un roman d’Agatha Christie que je lis. La collection est assez inégale de mon point de vue, il y a certaines adaptations dont les dessins ne me plaisent pas du tout – mais celle-ci me plaît ! Ce sont les mêmes scénariste et dessinateur que « Un cadavre dans la bibliothèque ».
Ce tome est très réussi. J’ai aimé l’ambiance dans le vieil hôtel Bertram, un peu hors du temps, où Jane Marple passe quelques jours en souvenirs de vacances qu’elle passait ici dans sa jeunesse.
Les dessins sont bien réalisés, j’ai aimé les couleurs utilisées (dès la couverture d’ailleurs!), la typographie est facile à lire.
Seul bémol, je n’ai pas compris l’intérêt de laisser certaines phrases en anglais « How do you do », « Long time no see » etc). Ce n’était pas utile, on est déjà plongés dans l’ambiance londonienne.
Editions Paquet, 16€
« La Mystérieuse affaire de Styles » est le premier roman d’Agatha Christie. Un siècle après sa première publication, l’intrigue est toujours efficace, et son adaptation en bande dessinée permet aux amateurs du genre de redécouvrir ce classique.
C’est une chronique sur un autre blog qui m’a donné envie de lire ce roman. J’avais bien compris que les « Bouffeurs anonymes », version alimentaire des « Alcooliques anonymes », se réunissaient et parlaient nourriture dans une société (à peine) futuriste, qui a limité à leur strict minimum les apports en gras / sucre / sel etc.
Avoir mis un âne sur la couverture de ce tome est une bonne idée car… c’est un peu le personnage principal !
« Je n’ai accès ni aux analyses des experts ni aux rapports d’autopsie, ce qui m’oblige à miser sur mon intuition et à essayer de deviner, comme au bon vieux temps. »
Doucement mais sûrement, je m’approche de la fin de la série « Agatha Raisin ». Ce 28
C’est un bonheur de lecture de se plonger dans un roman comme celui-ci.
J’étais très curieuse de découvrir ce roman, attirée par cette couverture colorée assez différente des autres couvertures des Presses de la cité, et par ailleurs ambiguë : quatre jeunes femmes habillées de robes façons XIXe siècle, portant chacune un verre ou une bouteille de vin. En dédicace, l’auteure fait un clin d’oeil à Jane Austen, mais on est quand même bien loin de « Raisons et sentiments ».
J’avais beaucoup aimé le rythme et l’intrigue des «
Dans l’anonymat d’un tout petit immeuble parisien, il faut attendre un événement grave pour que les locataires se parlent. Et cet événement n’est rien d’autre que la vente de l’immeuble par son propriétaire, auprès d’un promoteur qui le rasera et expulsera les locataires actuels. Or chacun d’entre eux a une très bonne raison de ne pas accepter de partir. Malgré leurs différences, ils vont devoir faire équipe.