Avant de me plonger dans des lectures hivernales (je résiste pour l’instant aux romans de Noël), j’ai opté pour une histoire qui se passe non pas sous la neige, mais sous la pluie. Ce sont en effet des pluies torrentielles qui s’abattent sur Weston-Saint-Ambrose, petite ville que nous commençons un peu à connaître puisqu’il s’agit du 4e tome de la série (même si je n’ai toujours pas lu le 1er).
Au fond du jardin des Stewart, un couple de citadins venus changer de vie à la campagne, coule une petite rivière qui hélas, draine un jour le corps sans vie d’une jeune femme. Les propriétaires sont très choqués, et le mari déclare connaître l’identité de la victime. Qui pouvait en vouloir à Courtney, la jeune serveuse du pub local ? Et quel est son lien avec le propriétaire du jardin où elle a été retrouvée, cet auteur qui anime des ateliers d’écriture depuis qu’il s’est installé à la campagne.
Jess et Ian sont chargés de l’enquête. Bizarrement, le rapprochement entre eux dans le précédent tome semble n’avoir jamais existé !
Comme dans les précédents tomes que j’ai lus, j’ai été plongée dans l’ambiance très vite. L’auteure sait très bien parler du temps et des lieux, si bien qu’on entendrait presque la pluie ruisseler en lisant ce roman !
Je me suis un peu perdue au début dans les personnages du club de lecture, qui sont assez nombreux, mais rien de bien gênant. Encore une fois, cela a été une bonne lecture, prenante.
Je ne suis pas sûre d’aimer les titres, qui à mon sens ne rendent pas service au livre, et qui par ailleurs n’ont rien à voir avec les titres originaux (« Death in the water » pour celui-ci). Mais je lirai les autres titres de la collection, c’est sûr !
10/18, 341 pages, 13,90€
Souvenez-vous… Dans le
J’ai (re)lu « Le Vallon » car il fait partie d’une édition « Poirot Halloween » qui regroupe « Le Vallon » et «
J’avais bien aimé «
Quelle bonne idée d’avoir adapté en version audio ce premier roman d’Agatha Christie ! J’ai beau connaître tous les livres d’Agatha Christie, j’ai beau avoir lu l’original de ce premier roman, vu des adaptations filmées, lu une adaptation BD il y a quelques semaines, j’ai quand même pris beaucoup de plaisir à redécouvrir ce classique. Il faut dire que la lecture de Samuel Labarthe est impeccable, la voix toujours juste, le débit toujours bien adapté.
J’ai lu tant de livres d’Agatha Christie ! Et pourtant quand j’ai vu la sortie en poche de « La toile d’araignée », j’ai été interpelée : je ne le connaissais pas, celui-ci ! Et pour cause : il s’agit d’une pièce de théâtre d’Agatha Christie qui a été adaptée en roman par Charles Osborne (je me souviens avoir lu « Black coffee » adaptée en roman par le même Charles Osborne). J’étais un peu hésitante : allais-je retrouver l’ambiance Christie dans une adaptation ?
Je n’avais pas lu le premier tome de cette série, « Bretzel et beurre salé », même si je l’avais souvent vu bien mis en avant dans les librairies. J’aime beaucoup les cosy, cela ne vous aura pas échappé, mais bizarrement je n’avais pas sauté sur celui-ci – il a fallu le hasard d’une bibliothèque pour me mettre entre les mains le deuxième tome.
J’ai d’abord été interpelée par le titre : des « meurtres qui font du bien » ? dans une collection qui s’intitule « Les meurtres zen » ? Avouez que ce n’est pas banal !
« Son Espionne royale » fait partie de ces lectures réconfortantes, que j’aime avoir sur ma table de chevet. Je l’avais acheté dès sa sortie, puis gardé « sous le coude » , et j’ai pris un grand plaisir à le lire ces jours-ci.