Aussitôt le premier tome fini, j’ai commencé la lecture du second, dans lequel se poursuit de manière encore plus rapprochée l’opposition entre Lupin et Holmes.
Les masques tombent peu à peu autour des deux femmes héritières d’un homme qui se prétendait alchimiste. Car si leur grand-père avait des pots remplis d’or, cela a forcément attiré des convoitises. Il faudra toute l’intelligence de Lupin (clairement mieux mis en avant que Holmes) pour comprendre les tenants et aboutissants de cette intrigue.
Je ne suis pas une très grande fan des romans de Sherlock Holmes (j’aime souvent mieux les adaptations récentes), bien que « L’Aiguille creuse », le premier que j’ai lu, soit un bon souvenir. Cette BD-ci est inspirée de « La Barre y va » et je dois dire que l’adaptation donne envie de lire l’original. Il faudra juste que j’attende un peu d’avoir oublié le dénouement pour profiter pleinement de cette lecture.
Quant à Holmes, battu mais mais vaincu, il n’abattra sa meilleure carte qu’au dernier moment, ce qui fait de cette BD une histoire bien construite, superbement dessinée, avec toujours des décors et des détails maîtrisés.
Grand angle, 56 pages, 14,90€