J’attends la sortie des tomes de cette série avec une gourmandise assumée. Je me demande même si mon plaisir de lecture porte sur l’enquête… ou sur tout le reste. Après la lecture du premier tome, j’étais sceptique sur la capacité de l’auteure à faire toute une série autour d’Hannah et de ses recettes de cookies… Mais après le cinquième tome, je ne m’en lasse pas !
Alors qu’Hannah enquête (officieusement) sur le meurtre du shérif Grant, qui était fâché avec la moitié de la ville, elle doit aussi gérer des cours de cuisine, la parution d’un livre de recettes, la préparation d’Halloween avec sa nièce, la rébellion gastronomique de son chat, la grossesse de sa sœur, et bien sûr son hésitation entre Mike et Norman, ses deux prétendants.
J’ai suivi ses petites mésaventures avec un réel plaisir, même si j’ai deviné l’identité du meurtrier à la moitié du livre.
Et comme d’habitude, j’ai noté une ou deux recettes à tester (même si j’ai toujours un problème avec les dosages en tasse, dont la conversion en mL à la fin du livre me laisse songeuse – des mL de farine ce n’est pas naturel).
J’espère qu’il y aura encore beaucoup d’autres tomes de cette série légère, plaisante, qui combine enquête / pâtisserie / humour.
Le Cherche Midi, 400 pages, 15€
J’ai la chance de connaître parmi mes amis et connaissances quelques auteurs. Je lis toujours leurs écrits
Auto-édition, disponible sur Amazon (broché et Kindle)
De l’histoire d’amour entre Romy Schneider et Alain Delon, je ne connaissais que quelques images maintes fois diffusées à la télévision, celles où l’on voit Delon accueillir Romy à sa descente de l’avion, juste avant le tournage de « La Piscine ». Ce sont d’ailleurs ces images qui m’avaient donné envie de voir le film. A ce moment-là, ils étaient déjà séparés.
Dans ma première chronique sur « Les enquêtes de Lady Rose », je disais trouver cette série différente de celle des « Agatha Raisin », de la même auteure. Mais au fil des tomes, je trouve de plus en plus de points communs entre les deux héroïnes. Indépendantes, rebelles, avec un mauvais caractère mais un bon fond… finalement elles se ressemblent !
Certaines lectures sont des bonheurs d’enfance inoubliables. Je me souviens de mon plaisir de lecture avec les aventures du Petit Nicolas, ses copains bagarreurs, celui qui était le chouchou de la maîtresse et celui qui mangeait tout le temps des pains au chocolat… Et bien sûr, le style inimitable de Goscinny pour raconter ces histoires avec la voix d’un enfant, et le dessin reconnaissable entre tous de Sempé.
Lire une histoire de pandémie a pris une autre dimension depuis deux ans, et une résonance particulière.
J’ai lu récemment un excellent roman psychologique, «
Une partie de moi s’était dit que, cette année, je lirai un peu moins de cosy mysteries – j’en ai lu beaucoup l’an dernier, et j’y ai même consacré une rubrique sur mon blog. Mais une autre partie de moi a beaucoup de mal à résister à ces romans plaisants, faciles à lire ou à écouter, et qui permettent tout simplement de passer un moment agréable !
Si vous pensiez qu’internet avait aboli en partie les frontières, c’est bien peu de chose par rapport à ce que Michel Bussi imagine pour 2097. Les frontières ont vraiment disparu depuis que les humains sont capables de se téléporter. En une fraction de seconde, ils peuvent se déplacer au bout du monde.
Dans la catégorie des thrillers psychologiques, « Mrs March » est un très bon cru.