
La moitié de mon plaisir de lecture de la série des enquêtes du Commissaire Dupin est d’être transportée à chaque tome dans un nouveau coin de Bretagne. Cette fois-ci, c’est Pornic qui est mis à l’honneur. Mais ne vous attendez pas à flâner sur le port ni autour du château en photo sur la couverture. Non, direction les vignes ! Le roman se déroule dans de grands domaines viticoles, entre caves et vignes.
Dupin est officiellement en voyage de noces, et fait étape avec sa femme Claire sur le domaine d’une amie de celle-ci, Cécile. Le propriétaire du domaine voisin, et ex mari de Cécile, est retrouvé mort. Un grand domaine, ça attire les convoitises… à moins qu’il ne s’agisse d’une affaire de coeur ? Dans tous les cas, Dupin est en position délicate : il n’est pas mandaté pour enquêter, et la meilleure copine de sa femme est aussi la principale suspecte.
Comme dans les autres tomes, l’enquête est bien construite, et Dupin fidèle à lui-même, avec ses petites manies et l’appui infaillible de son équipe, composée de personnages hauts en couleur. Il y a d’ailleurs une petite histoire parallèle avec un pic-vert qui menace la maison de Dupin – petit récit secondaire amusant et décalé.
Etrangement, alors que j’ai toujours imaginé Dupin en inspecteur Columbo (ne me demandez pas pourquoi.. peut-être le personnage avait-il un imper beige dans l’un des premiers tomes!), il aura fallu attendre ce douzième tome pour que le visage de Dupin prenne celui de Pasquale Aleardi, qui l’interprète dans la série télé adaptée des romans.

Presses de la cité, 352 pages, 22€
				
Retrouver le commissaire Dupin et son équipe de Concarneau est toujours la garantie de passer un bon moment de lecture. Dans cette onzième enquête (déjà!), c’est Labat l’un des fidèles lieutenants de Dupin, qui lance l’histoire : sa tante, une femme âgée mais en pleine forme, rencontre depuis quelques temps les signes mystérieux de la mort autour d’elle – la Bretagne est pleine de légendes, et si la série des « Dupin » reste toujours très rationnelle, elle fait souvent référence aux croyances locales. Dupin, Parisien d’origine, ne croit pas à ces signaux, mais la vieille tante décède pourtant. Et quand Labat se rend sur place, il est victime d’une agression. C’en est trop pour Dupin, qui part sur place, sur la côte des Abers dans le Finistère. 
Je suis tellement contente à chaque fois qu’un nouveau tome des enquêtes du Commissaire Dupin est publié ! Je suis toujours sûre de passer un bon moment, dans une Bretagne charmante et intrigante, magnifiée à travers les yeux de Dupin, le Parisien installé depuis maintenant dix ans en terre bretonne.
Pour sa neuvième enquête, j’ai retrouvé le sympathique commissaire Dupin à Saint-Malo. Invité pour un séminaire qui – vous connaissez le personnage – ne l’intéresse pas le moins du monde, il est témoin d’un meurtre en plein marché. 
Quel plaisir de retrouver le commissaire Dupin ! En ces périodes de limitation des déplacements, pouvoir voyager par la pensée jusqu’à Concarneau et la Bretagne est une bouffée d’oxygène bien agréable. 
Je suis depuis plusieurs années les aventures du Commissaire Dupin, parisien muté pour une raison non dévoilée en Bretagne, où il apprend progressivement les us et coutumes de la région. Il manquait à mes lectures le 
Retrouver le commissaire Dupin est toujours un plaisir. J’ai l’impression de rendre visite à un lointain cousin parisien parti s’installer en Bretagne, et de parcourir ses nouvelles terres avec lui. Je l’imagine un peu en Columbo, et pourtant il n’y a rien dans le texte qui le décrit ainsi !
Alerté par une journaliste, le commissaire Dupin effectue quelques vérifications de routine dans les marais salants de Guérande ; soudain, on lui tire dessus. Il apprend peu après que son indic journaliste a disparu. Rejoint par une collègue commissaire, il va enquêter sur le milieu peu connu du sel pour retrouver la journaliste et savoir pourquoi elle l’avait mis en garde.