Marceau Miller est un écrivain à succès. Lorsqu’il meurt pendant une session d’alpinisme à mains nues, sa veuve ne peut se résoudre à considérer sa mort comme un accident : elle est persuadée qu’il a été tué.
Mais qui était donc Marceau Miller ? Quels secrets cachait-il ? Et ses amis, Karen l’associée de sa femme, Rollin et Alexis ses copains de jeunesse, en savent-ils plus qu’ils ne le disent ?
Le roman commence avec une mise en abyme qui place aussitôt le lecteur dans une ambiance très particulière : Marceau Miller est censé être l’auteur du livre que l’on a entre les mains, et il raconte la scène de sa propre mort… Evidemment tout n’est pas cohérent dans cet angle de vue, mais cela donne un rythme très vif à la lecture dès les premières pages. Tout le roman est bien cadencé, les chapitres sont courts et l’histoire progresse avec efficacité. J’ai retrouvé un peu l’esprit des romans de Joël Dicker (avec moins de complexité dans la construction), notamment à travers les personnages qui mènent une vie à l’apparence parfaite, dans de belles maisons au bord du lac Léman, mais qui cachent des failles que le lecteur découvre peu à peu.
Ed. La Martinière, 400 pages, 20,90€. Parution à venir le 17 janvier 2025. Merci aux éditions La Martinière de me l’avoir fait découvrir en avant-première !
Les romans avec des messages codés et autres casse-têtes ont souvent beaucoup de succès auprès des lecteurs, qui se mettent à la place des personnages pour résoudre énigmes et codes secrets. Or Edith Twyford,
Dans mon incroyable calendrier de l’Avent de cette année se cache chaque jour une surprise d’un genre différent. Et dans l’un des paquets j’ai découvert ce roman de Noël. J’ai l’habitude, chaque année en cette saison, de lire un roman à l’ambiance bon enfant, chocolat chaud et gentille romance.
J’ai eu envie de lire ce roman de 1909 sur les (toujours bons) conseils de mon ami Yves. Le point de départ me plaisait bien : à l’Académie française, les Immortels sont terrorisés depuis que les successeurs au fauteuil de Mgr d’Abbeville meurent mystérieusement, les uns après les autres, au moment de leur discours d’hommage. Plus personne ne voudra candidater,
C’est une toute petite BD en noir et blanc d’une vingtaine de pages, mais il s’y passe tant de rebondissements !
En avril 2021, je découvrais grâce à l’équipe du Cherche Midi cette série de cosy mysteries sur fond de recettes de cookies et autres douceurs sucrées. Trois ans et demi plus tard (et merci à la maison d’édition pour sa fidélité), me voici avec le tome 11 entre les mains – un joli tome 11 sur le thème des fêtes de fin d’année, avec une couverture brillante et pailletée.
J’ai reçu ce livre dans le cadre d’une opération « Masse critique » de Babelio, et la première impression que j’ai eue en ouvrant le colis a été de me dire que ce livre était un fort bel ouvrage, avec une épaisse couverture cartonnée, et des reproductions de gravures très bien faites.
C’est une discussion récente sur le « m
Fans d’Agatha Christie, cette série est faite pour vous ! Surtout si vous avez toujours rêvé de faire partie d’un club de lecture autour des cosy crimes… et je réalise en l’écrivant que dans mon premier club de lecture, nous avions lu « Ils étaient dix » – j’avais environ douze ans.
Rosalind, Caroline et Posy ont, chacune leur tour, incarné le rôle de Dahlia Levely, la célèbre enquêtrice. Tandis que Rosalind et Posy sont réunies sur un nouveau tournage, Rosalind reçoit des menaces de mort. Elles appellent à la rescousse la « troisième Dahlia », Caroline, et reconstituent ainsi le trio d’enquêtrices que j’avais découvert dans «