Alors que Pippa enregistre une série de podcast relatant l’enquête qu’elle avait menée dans le premier tome, elle apprend que Jamie, le frère de l’un de ses amis, a disparu. Puisque son absence n’émeut pas la police, Pippa – qui s’était pourtant juré de ne plus enquêter – reprend du service. Grâce à son podcast et à sa notoriété, elle espère recueillir suffisamment d’indices pour retrouver Jamie rapidement – si tant est qu’il soit encore en vie.
On retrouve dans ce deuxième tome toute l’énergie de l’adolescente de 17 ans, pleine de volonté, de convictions et de courage. La justicière 2.0 est devenue une quasi vedette (autant admirée que détestée) ; cette fois-ci elle enquête surtout avec le frère de Jamie, mais Ravi, qui est officiellement devenu son petit ami, reste présent dans l’histoire.
Il faut impérativement lire les tomes dans l’ordre, car le début de ce roman s’ouvre par un résumé complet de la première enquête. Il y a aussi beaucoup de personnages récurrents (il n’est pas indispensable de se souvenir de tous, mais disons qu’il y a une continuité). Quant à Pippa, elle est fidèle à elle-même : « si on veut que quelque chose soit bien fait, il faut le faire soi-même ».
Pour le reste, la trame est aussi efficace que dans le premier tome, avec des fausses pistes et des événements un peu mystérieux (qui trouvent tous leur explication, rassurez-vous). La fin est un peu trop mélodramatique pour moi, mais dans l’ensemble j’ai apprécié ce roman et l’ai lu très rapidement.
Casterman, 528 pages, 17,95€
J’aime bien les romans pour ado. Je les trouve souvent plus efficaces, plus directs et plus rythmés que de nombreux romans pour adultes. Surtout parmi les romans policiers. « Meurtre mode d’emploi » est un roman que j’avais repéré depuis longtemps, et je suis contente de l’avoir enfin lu. Le titre est un peu trompeur, puisqu’il s’agit en réalité d’une enquête, un cold case plus précisément, qu’une ado de 17 ans cherche à résoudre.
La première question que je me pose en pensant au prochain tome des enquêtes pâtissières d’Hannah Swensen, c’est le nom du gâteau qui sera mis à l’honneur dans le titre. Après diverses tartes, un pudding, un carrot cake, un cobbler aux pêches (une découverte pour moi), un cheesecake, des muffins et j’en passe, voici donc le quart d’heure de gloire des chaussons aux pommes !
Lila est sur le point d’ouvrir un café avec deux de ses amies. La dernière ligne droite avant l’inauguration lui occasionne beaucoup de stress ; alors quand elle est sollicitée pour devenir jurée d’un concours de beauté local, c’est l’occasion pour elle de s’oxygéner.
Sophie Hannah a été choisie par les héritiers d’Agatha Christie pour faire revivre Hercule Poirot dans de nouvelles enquêtes. J’ai déjà lu les quatre précédents romans qu’elle a écrits, dont je garde un souvenir inégal : j’en ai apprécié certains, j’ai été déçue par d’autres…
J’avais beaucoup aimé le thriller psychologique «
L’an dernier, j’avais participé au #readChristie2023, mais je m’étais lassée en cours d’année d’avoir des lectures « imposées ». Je n’ai pas renouvelé l’expérience cette année, mais je relis régulièrement des romans d’Agatha Christie (soit les textes originaux, soit des adaptations comme les excellentes BD éditées chez Paquet).
J’ai eu envie de lire ce roman de 1909 sur les (toujours bons) conseils de mon ami Yves. Le point de départ me plaisait bien : à l’Académie française, les Immortels sont terrorisés depuis que les successeurs au fauteuil de Mgr d’Abbeville meurent mystérieusement, les uns après les autres, au moment de leur discours d’hommage. Plus personne ne voudra candidater,
En avril 2021, je découvrais grâce à l’équipe du Cherche Midi cette série de cosy mysteries sur fond de recettes de cookies et autres douceurs sucrées. Trois ans et demi plus tard (et merci à la maison d’édition pour sa fidélité), me voici avec le tome 11 entre les mains – un joli tome 11 sur le thème des fêtes de fin d’année, avec une couverture brillante et pailletée.
Fans d’Agatha Christie, cette série est faite pour vous ! Surtout si vous avez toujours rêvé de faire partie d’un club de lecture autour des cosy crimes… et je réalise en l’écrivant que dans mon premier club de lecture, nous avions lu « Ils étaient dix » – j’avais environ douze ans.