J’adore cette série d’enquêtes de « Carter & Campbell ». Je les ai tous lus, mais dans le désordre car, si les visuels des couvertures sont assez reconnaissables, il n’est indiqué nulle part que c’est une série, et il n’y a pas de numéro de tome non plus. Enfin bref , maintenant j’ai rattrapé mon retard et je guette avec impatience les nouvelles parutions.
Le nouveau tome, qui vient de sortir, est aussi réussi que les précédents, même si je l’ai trouvé un peu différent. Une particularité de cette série, contrairement à la plupart des autres « cosy » que je lis, est qu’il y a assez peu de fil rouge d’un tome à l’autre. Le duo d’enquêteurs est discret, sans signe distinctif caricatural. On ne retrouve pas, sur chaque tome, les mêmes pages qui permettent de resituer les personnages, leurs caractéristiques, leurs lubies. C’est assez reposant car ce n’est pas fait avec tact dans toutes les séries. Je m’étais quand même habituée à un certain style d’histoires, et en particulier à une présence forte des lieux, des vieilles maisons.
Ici l’histoire est très différente. Carter, le commissaire, voit une vieille affaire non résolue revenir sur le devant de la scène. Une jeune fille, disparue il y a vingt ans, n’avait jamais été retrouvée. Jusqu’à ce que son bracelet soit retrouvé, et relance l’enquête. Carter va être appuyé d’un autre enquêteur, qui avait mené avec lui l’enquête vingt ans plus tôt, et qui est maintenant à la retraite. Dans la préface, l’auteure raconte comment elle a fait se croiser ces deux personnages, le retraité étant le héros d’une autre série d’enquêtes, « Mitchell et Markby » (publié il y a… vingt ans… en France chez Liana Levi, mais introuvables aujourd’hui hors occasion). Ne pas connaître cette autre série ne change pas grand-chose à la lecture.
L’intrigue est intéressante, les questions autour de la disparition de la jeune fille sont nombreuses. Même si j’ai mis du temps à trouver le coupable, il n’y a pas beaucoup de suspects ni de fausses pistes. Il faut se laisser guider par le récit, tout simplement.
10/18, 356 pages, 15,90€
Cassie, la meilleure amie de Gemma, file le parfait amour avec un galeriste. Mais lors d’un vernissage, une femme s’effondre, morte. Elle était amoureuse du galeriste, qui repoussait ses avances trop pressantes. Par ailleurs c’était une vraie peste, détestée de tous ceux qui la connaissaient. Les suspects ne manquent pas !
Dans la catégorie des cosy mysteries sur fond de pâtisserie, j’étais déjà une grande adepte de la série des « Hannah Swensen » (déjà 8 tomes lus et j’attends le 9
J’avais beaucoup aimé le 1
J’avais noté ce titre depuis longtemps… Un roman (vraiment) dans le style d’Agatha Christie, ça ne pouvait que me plaire !
Je poursuis, doucement mais sûrement, le #readChristie2023, qui propose une thématique chaque mois autour des romans d’Agatha Christie, et suggère un livre en particulier. Pour juillet (oui, je suis un tout petit peu en retard…) le choix était : « Les vacances d’Hercule Poirot ». Un bon choix pour l’été ! Je me réjouissais d’avance.
J’ai pris un peu de retard dans le challenge #ReadChristie2023, et cela résulte sans doute de quelques déceptions dans les lectures imposées des derniers mois. Je me rends compte que les romans d’Agatha Christie vers lesquels je reviens le plus facilement sont ceux construits sur ma trame préférée, le huis-clos et l’enquête d’un héros récurrent, Hercule Poirot étant mon chouchou.
Rarement livre aura porté un titre aussi adapté à la lecture que j’en ai faite, car ce « Portrait inachevé » a été pour moi une « lecture inachevée ». Chose rarissime, ce roman d’Agatha Christie ne m’a tellement pas convaincue que je n’ai pas réussi à le finir ! Et me voilà, publiant en juillet ma chronique sur le challenge du mois de mai…
Agatha chez les naturistes ! Décidément, elle aura tout essayé. Il faut dire qu’un mort signalé dans un camp de naturistes, qui disparaît avant l’arrivée de la police, cela a de quoi intriguer…
Enfin ! Après avoir fait languir le lecteur pendant plusieurs tomes, Georgie va enfin épouser Darcy ! Mais ne vous réjouissez pas trop vite : elle doit d’abord obtenir l’accord du Parlement, et la bénédiction du couple royal. Cela tombe bien : la Reine a un petit service à lui demander… Il s’agit de rejoindre David, le Prince de Galles, dans une partie de campagne, et de s’assurer qu’il ne va pas épouser en cachette la très controversée Wallis Simpson. Américaine et encore mariée, elle est loin de plaire à Sa Majesté…