Ne vous étonnez pas si je publie les chroniques de cette série complètement dans le désordre. J’avais bien repéré la publication de « Cottage, fantômes et guet-apens » (le premier tome), mais je n’avais pas été trop attirée par le titre… j’avais passé mon tour.
Et puis finalement cette série m’a rattrapée, un peu par hasard, et je l’ai commencée en plein milieu ; puis comme les tomes ne sont pas numérotés (!) je me suis trompée dans le choix des tomes suivants – bref, j’ai tout lu dans le désordre.
Je finis donc mon « rattrapage » de cette série, qui s’avère finalement très réussie, par le premier tome ! Et c’est intéressant de revenir à la genèse de la série, de découvrir la première rencontre entre Jess et son nouveau patron, le commissaire Carter. Pas de grande révélation, ils sont finalement depuis le début des personnages assez taiseux et pudiques. Mais on apprend quand même quelques petites choses sur Jess, notamment l’existence d’un frère jumeau qui fait de l’humanitaire aux quatre coins du monde. D’autres personnages, comme Phil Morton, sont beaucoup plus présents que dans les tomes suivants.
L’enquête, quant à elle, est de la même qualité que les suivantes. Le corps d’une jeune femme a été découvert dans une ferme désaffectée. Or un homme a été aperçu dans une voiture juste à l’entrée de la ferme. Mais il est introuvable. L’enquête est assez longue, on ne peut pas dire que les policiers progressent très vite, et c’est d’ailleurs ce qui m’étonne avec cette série : il n’y a pas de gros rebondissements, ce n’est pas un page turner, il y a beaucoup de détours et de redites sur les personnages, sur les pistes étudiées etc ; et pourtant l’ensemble fonctionne bien. Je n’avais pas envie de lâcher le livre. Et comme toujours, le dénouement est crédible, sans tromperie vis-à-vis du lecteur.
J’ai lu tous les tomes déjà sortis, maintenant j’attends la suite !
Ed 10-18, 360 pages, 13,90€
J’aime de plus en plus cette série d’enquêtes de Campbell & Carter. Voilà déjà le 5
Un « bonus » se cache dans le tome 6 «
J’avais retardé cette lecture le plus possible, parce que je voulais attendre d’être dans l’ambiance de Noël, et parce que la sortie d’une nouvelle enquête d’Hannah Swensen est devenue un événement que j’attends avec gourmandise, comme je le fais depuis des années avec Agatha Raisin.
Avant de me plonger dans des lectures hivernales (je résiste pour l’instant aux romans de Noël), j’ai opté pour une histoire qui se passe non pas sous la neige, mais sous la pluie. Ce sont en effet des pluies torrentielles qui s’abattent sur Weston-Saint-Ambrose, petite ville que nous commençons un peu à connaître puisqu’il s’agit du 4e tome de la série (même si je n’ai toujours pas lu le 1er).
Souvenez-vous… Dans le
J’ai (re)lu « Le Vallon » car il fait partie d’une édition « Poirot Halloween » qui regroupe « Le Vallon » et «
J’avais bien aimé «
J’ai lu tant de livres d’Agatha Christie ! Et pourtant quand j’ai vu la sortie en poche de « La toile d’araignée », j’ai été interpelée : je ne le connaissais pas, celui-ci ! Et pour cause : il s’agit d’une pièce de théâtre d’Agatha Christie qui a été adaptée en roman par Charles Osborne (je me souviens avoir lu « Black coffee » adaptée en roman par le même Charles Osborne). J’étais un peu hésitante : allais-je retrouver l’ambiance Christie dans une adaptation ?
Je n’avais pas lu le premier tome de cette série, « Bretzel et beurre salé », même si je l’avais souvent vu bien mis en avant dans les librairies. J’aime beaucoup les cosy, cela ne vous aura pas échappé, mais bizarrement je n’avais pas sauté sur celui-ci – il a fallu le hasard d’une bibliothèque pour me mettre entre les mains le deuxième tome.