Avoir mis un âne sur la couverture de ce tome est une bonne idée car… c’est un peu le personnage principal !
Agatha a été embauchée pour une histoire d’espionnage industriel (c’est une thématique nouvelle dans ses enquêtes). Trompée par son flair, elle se fait piéger en découvrant une mise en scène de faux meurtre. Pourtant, quelques jours plus tard, un vrai meurtre est commis. Les apparences accusent Wizz-Wazz, une ânesse, qui aurait tué d’un coup de sabot. Mais Agatha ne croit pas à la culpabilité de l’ânesse, et voilà la riche et chic Agatha au secours d’une vieille ânesse puante !
C’est un bon tome, qui se renouvelle en allant chercher des thématiques un peu différentes. L’histoire ne s’éparpille pas, les personnages sont assez peu nombreux. Le dénouement n’est pas surprenant.
Quant à la vie sentimentale d’Agatha, elle connaît un nouvel espoir avec l’arrivée de Chris. J’avoue avoir été un peu déstabilisée, il me semble que l’ellipse narrative entre le précédent tome et celui-ci est un peu trop marquée (ou alors j’ai raté quelque chose !), au point que j’ai vérifié 2 fois que je n’avais pas oublié de lire un tome !
Il ne me reste plus que 2 tomes à lire (1 seul est déjà sorti pour l’instant). Je me demande comment la série finira – si elle finit vraiment, car c’est le décès de l’auteure qui y a mis un terme.
Albin Michel, 14€
« Je n’ai accès ni aux analyses des experts ni aux rapports d’autopsie, ce qui m’oblige à miser sur mon intuition et à essayer de deviner, comme au bon vieux temps. »
Doucement mais sûrement, je m’approche de la fin de la série « Agatha Raisin ». Ce 28
J’avais quitté Carsely à la fin du
Ce que j’aime dans cette série, c’est sa capacité à ne pas lasser le lecteur, en l’entraînant à chaque fois dans des décors différents. Cette fois-ci, Georgie embarque sur un paquebot, direction l’Amérique ! Ambiance croisière, mal de mer et dîner en jolie robe, voici Georgie bien loin du froid château des Rannoch.
Pour une fois, avant même de vous parler du texte, j’ai envie de vous parler de… la voix. La voix, c’est celle de Rachel Arditi, qui lit ce livre audio. Et quelle voix ! Ou plutôt devrais-je écrire : quelles voix ! J’ai a-do-ré ce livre audio, en grande partie parce que Rachel Arditi en fait une lecture géniale, avec de belles voix, bien distinctes, pour chaque personnage. Elle incarne réellement les trois « dames de Marlow » et leur donne à chacune une personnalité. C’est un gros coup de cœur d’écoute.
J’attends la sortie des tomes de cette série avec une gourmandise assumée. Je me demande même si mon plaisir de lecture porte sur l’enquête… ou sur tout le reste. Après la lecture du premier tome, j’étais sceptique sur la capacité de l’auteure à faire toute une série autour d’Hannah et de ses recettes de cookies… Mais après le cinquième tome, je ne m’en lasse pas !
Dans ma première chronique sur « Les enquêtes de Lady Rose », je disais trouver cette série différente de celle des « Agatha Raisin », de la même auteure. Mais au fil des tomes, je trouve de plus en plus de points communs entre les deux héroïnes. Indépendantes, rebelles, avec un mauvais caractère mais un bon fond… finalement elles se ressemblent !
Une partie de moi s’était dit que, cette année, je lirai un peu moins de cosy mysteries – j’en ai lu beaucoup l’an dernier, et j’y ai même consacré une rubrique sur mon blog. Mais une autre partie de moi a beaucoup de mal à résister à ces romans plaisants, faciles à lire ou à écouter, et qui permettent tout simplement de passer un moment agréable !
Aussitôt fini le