Je continue le #readChristie2023, et pour le mois de mars et le thème de la peur, j’ai suivi la recommandation de lecture : « La plume empoisonnée ».
Jerry espérait profiter du calme de la campagne pour sa convalescence. Accompagné de sa sœur, il s’installe dans un petit village. Mais bientôt, sa sœur et lui reçoivent des lettres anonymes. Est-ce parce qu’ils sont nouveaux venus ? Cela aurait pu être une explication, mais peu à peu les langues se délient et Jerry comprend que tous les villageois reçoivent ce genre de missives.
Mais les plaisanteries du corbeau prennent une autre dimension quand elles aboutissent au suicide d’une femme…
Si le roman fait appel à miss Marple, ce n’est qu’à la toute fin de l’histoire. Elle est loin d’être le personnage central de l’histoire. A tel point que j’ai vérifié que c’était bien elle l’enquêtrice ! Il y a beaucoup de personnages, donc c’est assez dense de suivre qui a reçu quelles insultes et pourquoi. Ce n’est pas le meilleur Christie à mon goût, alors j’attends maintenant la lecture d’avril !
Le Livre de poche, 221 pages, 6,40€
1930. La crise économique fait rage, et oblige les Meltzer à revoir leur train de vie. L’usine ne tourne plus qu’à moitié, l’atelier de Marie accumule les impayés. Paul est au bord de l’épuisement. Lisa est devenue mère plusieurs fois, et a pris la tête de l’organisation de la villa, tandis que Kitty garde son inépuisable enthousiasme.
Avant de commencer la lecture de ce troisième tome, je craignais que l’auteure, pour relancer l’histoire, nous fasse faire un bond dans le temps et passe à la génération suivante de personnages (les enfants de Paul et Marie, ceux de Kitty). Mais le roman commence en 1920 (et non 1923 comme le mentionne la 4
Je me réjouissais de retrouver la famille Meltzer dans ce deuxième tome.
Amateurs de sagas familiales, ne passez pas à côté de ce roman !
J’adore les romans de Ruth Ware, petits bijoux de thrillers psychologiques comme je les aime. Dans « Le chalet des disparus », j’ai retrouvé ce que j’avais aimé dans ses précédents romans : un quasi huis clos, des personnages mi-anges mi-démons, des faux-semblants, une énigme.
A
Quel plaisir de retrouver les drôles de dames de Marlow ! J’ai résisté à l’envie de lire la version papier dès sa sortie, préférant attendre la version audio. J’avais tellement ri en écoutant la version audio du
Je poursuis le challenge du #ReadChristie2023 ; ce mois-ci le thème de « l’objet contondant » m’a amené à (re)lire « Le crime est notre affaire » (même si le choix de ce livre n’est pas immédiat car c’est un recueil de nouvelles, j’ai choisi de suivre la préconisation « officielle » du challenge de février).
Avant de lire ce livre, je ne connaissais pas le film qui en est inspiré. J’ai donc découvert cette histoire de A à Z.