1930. La crise économique fait rage, et oblige les Meltzer à revoir leur train de vie. L’usine ne tourne plus qu’à moitié, l’atelier de Marie accumule les impayés. Paul est au bord de l’épuisement. Lisa est devenue mère plusieurs fois, et a pris la tête de l’organisation de la villa, tandis que Kitty garde son inépuisable enthousiasme.
Les enfants, quant à eux, tracent leurs chemins : Dodo ne rêve que de machines et d’avions, tandis que son frère Leo s’obstine à viser la perfection au piano.
J’ai retrouvé avec plaisir tous les personnages dans ce quatrième tome, heureuse de constater que l’auteure fait grandir doucement les enfants sans en faire tout de suite les personnages principaux. Je n’aurais pas voulu quitter trop vite Marie et Paul, Kitty, Lisa, pour ne suivre que les aventures de leurs enfants. Et l’histoire pourtant ne s’essouffle pas : il se passe toujours quelque chose à la Villa, chez les maîtres ou chez les domestiques – d’ailleurs il y a toujours de beaux personnages aussi dans l’équipe de maison.
600 pages, c’est encore un beau pavé à lire, mais l’histoire est prenante et je ne me suis jamais perdue parmi les très nombreux personnages – pour moi c’est une preuve que c’est bien écrit !
J’arrive au bout des 4 premiers tomes ; il en existe un 5e dont j’attends impatiemment la sortie en poche fin mai pour poursuivre ma lecture !
Ed 10/18, 624 pages, 10,10€
Avant de commencer la lecture de ce troisième tome, je craignais que l’auteure, pour relancer l’histoire, nous fasse faire un bond dans le temps et passe à la génération suivante de personnages (les enfants de Paul et Marie, ceux de Kitty). Mais le roman commence en 1920 (et non 1923 comme le mentionne la 4
Je me réjouissais de retrouver la famille Meltzer dans ce deuxième tome.
Amateurs de sagas familiales, ne passez pas à côté de ce roman !
J’adore les romans de Ruth Ware, petits bijoux de thrillers psychologiques comme je les aime. Dans « Le chalet des disparus », j’ai retrouvé ce que j’avais aimé dans ses précédents romans : un quasi huis clos, des personnages mi-anges mi-démons, des faux-semblants, une énigme.
A
Quel plaisir de retrouver les drôles de dames de Marlow ! J’ai résisté à l’envie de lire la version papier dès sa sortie, préférant attendre la version audio. J’avais tellement ri en écoutant la version audio du
Je poursuis le challenge du #ReadChristie2023 ; ce mois-ci le thème de « l’objet contondant » m’a amené à (re)lire « Le crime est notre affaire » (même si le choix de ce livre n’est pas immédiat car c’est un recueil de nouvelles, j’ai choisi de suivre la préconisation « officielle » du challenge de février).
Avant de lire ce livre, je ne connaissais pas le film qui en est inspiré. J’ai donc découvert cette histoire de A à Z.
Ce roman me faisait de l’œil depuis longtemps – mais que voulez-vous, j’ai beau lire une belle quantité de livres chaque année, je ne peux évidemment pas lire toute la production littéraire qui me fait envie… Enfin, voilà un livre de plus qui rejoint les chroniques de ce blog. Le premier constat est que ce livre ne ressemble à aucun autre. Il fait la part belle au féminin sous toutes ses formes, et d’abord dans l’écriture.