J’adore les romans de Ruth Ware, petits bijoux de thrillers psychologiques comme je les aime. Dans « Le chalet des disparus », j’ai retrouvé ce que j’avais aimé dans ses précédents romans : un quasi huis clos, des personnages mi-anges mi-démons, des faux-semblants, une énigme.
Dans un chalet perdu en haute-montagne, toute l’équipe d’une start-up est en séminaire. L’ambiance est tendue entre les membres de l’équipe, et Erin et Danny, les deux hôtes du chalet, font de leur mieux pour que le séjour se passe bien. Jusqu’à ce que l’un des participants du séminaire disparaisse. Et ce n’est pas un accident…
Roman idéal pour l’hiver, sur fond de paysages enneigés et de chalet isolé, j’ai eu du mal à le poser. Les chapitres sont très courts, rythmés, parsemés de fausses pistes… Un bon page-turner, quoi !
Le dénouement arrive un peu vite (la clé principale de l’intrigue est révélée environ 100 pages avant la fin), mais j’ai quand même beaucoup apprécié cette lecture jusqu’au bout. Et j’ai noté pour de futures lectures les titres de Ruth Ware que je n’ai pas encore lus !
Fleuve éditions, 432 pages, 22,90€