J’aime de plus en plus cette série d’enquêtes de Campbell & Carter. Voilà déjà le 5e tome (même si je n’ai pas encore lu le premier – les tomes ne sont pas numérotés, je les ai lus complètement dans le désordre, heureusement ce n’est pas trop gênant).
Carl Finch est retrouvé mort dans un bois, à proximité de la vieille demeure familiale où vit encore sa demi-sœur. Lui-même s’était installé à Londres depuis longtemps, et se sentait lésé par le testament de son beau-père. Il venait, une fois de plus, réclamer de l’argent à sa sœur, qui l’adorait et était incapable de le lui refuser.
La mort de Carl pourrait passer pour un suicide, mais des éléments troublants s’accumulent : sa sœur s’est enfuie en le trouvant mort ; la meilleure amie de celle-ci a cru bien faire et a menti à la police pour la protéger ; le beau-frère le détestait et ne s’en cachait pas ; et voilà que sa petite-amie débarque de Londres, une vraie furie…
C’est une fois de plus une enquête bien menée, avec des fausses pistes, et malgré tout des « évidences » qui rendent le dénouement tout à fait acceptable pour le lecteur – on ne se sent pas trahi par une révélation sortie du chapeau…
Le personnage de Tom, le légiste ami de Jess, est assez présent, et dans un rôle assez amusant (il est malade pendant tout le roman, et pourtant il est présent à toutes les étapes clés de l’enquête, depuis la découverte du cadavre dans la forêt). Le rapprochement qui avait eu lieu entre Jess et Ian dans le précédent tome semble complètement oublié ; c’est un peu gênant pour la lecture, j’ai eu l’impression d’avoir raté un épisode. aJess et Ian ne sont pas des personnages attachants comme le sont souvent les héros de cosy mysteries – Ian est à moitié dépressif suite à son divorce, Jess paraît vivre au jour le jour sans rêve et sans ambition. Et pourtant la série fonctionne bien, peut-être davantage pour l’ambiance et l’intrigue que pour ses deux enquêteurs.
Ed 10/18, 320 pages, 13,90€
Dans ce joli conte de Noël, un petit garçon prénommé Jack perd son doudou préféré, un cochon en peluche tout usé mais qu’il adorait.
De quels trésors faut-il rêver ? Faut-il rêver de la dernière console de jeux, de la paire de baskets vue sur un joueur de foot, du vêtement mis en avant par des influenceurs sur les réseaux sociaux ?
Un « bonus » se cache dans le tome 6 «
J’avais retardé cette lecture le plus possible, parce que je voulais attendre d’être dans l’ambiance de Noël, et parce que la sortie d’une nouvelle enquête d’Hannah Swensen est devenue un événement que j’attends avec gourmandise, comme je le fais depuis des années avec Agatha Raisin.
L’an dernier, j’avais adoré lire «
La couverture est toute mignonne, et c’est d’abord ce qui attire l’oeil sur ce livre. Il y a ce titre ensuite, tout juste traduit de la chanson de Maria Carey « All I want for Christmas is you » (qui bizarrement n’est cité nulle part, pas même dans la playlist conseillée en début de roman), qui se fixe dans l’esprit avec une petite musique à clochettes… De prime abord, le livre fait envie !
Ce recueil est un petit bijou de poésie !
C’est le titre, d’abord, qui m’a interpelée. Qui est cette Charity Quinn, au prénom peu courant et au nom familier ? Et pourquoi allait-elle mourir deux fois ?
Avant de me plonger dans des lectures hivernales (je résiste pour l’instant aux romans de Noël), j’ai opté pour une histoire qui se passe non pas sous la neige, mais sous la pluie. Ce sont en effet des pluies torrentielles qui s’abattent sur Weston-Saint-Ambrose, petite ville que nous commençons un peu à connaître puisqu’il s’agit du 4e tome de la série (même si je n’ai toujours pas lu le 1er).