J’avais quitté Carsely à la fin du 26e tome avec Agatha prête à donner un coup de main sur une affaire dans les jardins communautaires, et Mrs Bloxby, la si discrète femme du pasteur, en train de s’amouracher d’un nouveau venu au village – nouveau look, nouvelle coupe de cheveux, ça promettait !
J’ai retrouvé les personnages là où je les avais laissés – quand d’autres tomes laissent passer quelques mois entre deux. Je ne vous parle pas de Mrs Bloxby, je préfère vous laisser découvrir quel choix elle va faire. Quant à Agatha, elle se lance dans une nouvelle affaire : lord Bellington, qui voulait mettre fin aux jardins communautaires, a été empoisonné. Au-delà des jardiniers amateurs, c’est toute la famille du riche Lord qui est suspecte.
L’enquête est moins tordue que dans d’autres tomes – comprenez : je ne me suis pas perdue dans les fausses pistes et les multiples personnages.
Quant à Agatha, un nouveau rebondissement dans sa vie sentimentale vient mettre un peu de peps bienvenu dans l’histoire – et occupe d’ailleurs une bonne moitié du roman. C’est aussi ce qui fait le charme et le succès de cette série.
Albin Michel, 14€
Dans ma première chronique sur « Les enquêtes de Lady Rose », je disais trouver cette série différente de celle des « Agatha Raisin », de la même auteure. Mais au fil des tomes, je trouve de plus en plus de points communs entre les deux héroïnes. Indépendantes, rebelles, avec un mauvais caractère mais un bon fond… finalement elles se ressemblent !
Une partie de moi s’était dit que, cette année, je lirai un peu moins de cosy mysteries – j’en ai lu beaucoup l’an dernier, et j’y ai même consacré une rubrique sur mon blog. Mais une autre partie de moi a beaucoup de mal à résister à ces romans plaisants, faciles à lire ou à écouter, et qui permettent tout simplement de passer un moment agréable !
J’ai lu ce 26
J’ai commencé ce tome. Je l’ai reposé (j’avais un autre roman sur ma PAL qui me faisait de l’oeil). Je l’ai repris plus tard. Je l’ai lu en entier.
Vous connaissez le plaisir que j’ai à lire la série des « Agatha Raisin », dont j’ai déjà chroniqué une bonne vingtaine de tomes. De la même auteure, j’avais testé la série des « Hamish McBeth », mais je n’avais pas accroché et je me suis arrêtée au deuxième tome.
Difficile d’écrire ma 24
Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu un « Agatha Raisin ». C’est la diffusion de nouveaux épisodes à la télé qui m’en a donné envie – parce que cette série me fait toujours envie, mais que je suis souvent déçue tant les personnages sont éloignés de leur version de papier. Donc je suis revenue à l’original.
Les amateurs de la série des Agatha Raisin apprécieront la lecture de cette courte nouvelle retraçant les premiers pas professionnels de la jeune Agatha. Tout juste sortie de sa banlieue, loin d’une famille alcoolique et d’un premier mari violent, elle n’a qu’une envie : réussir. Son rêve ultime, vous le connaissez déjà, est d’acquérir un jour une maison dans les Cotswolds. C’est en acceptant une tâche ingrate dans l’agence de communication où elle travaille qu’elle rencontre un homme dont elle va défendre l’image, et qui va la récompenser en l’aidant à monter sa propre agence.
Ce tome des aventures d’Agatha Raisin, directrice d’une agence de détectives et grande gueule légendaire, commence sur les chapeaux de roue et d’une manière beaucoup plus violente que d’habitude. Je n’avais pas lu la quatrième de couverture (car je lirai de toute façon tous les tomes!), et si vous voulez garder le suspense, arrêtez-vous ici.