Il y a bien longtemps (2 ans, peut-être), j’étais très motivée pour essayer de lire un roman en anglais (après plusieurs tentatives infructueuses). J’avais opté pour un roman « young adult » qui me semblait plus accessible : « American Royals ». J’avais même acheté les 2 tomes (motivée, vous disais-je).
Je ne suis même pas arrivée à la page 10 du premier tome, qui est allé dormir sur une étagère…
Et me voilà, au début de cet été, remotivée pour repartir à l’assaut de ce roman !
Les premiers chapitres ont été assez durs à lire, mais ma grande victoire de cet été sera d’être allée au bout des 440 pages ! Je suis même prête à attaquer le deuxième tome !
L’histoire, maintenant. L’auteure imagine que Georges Washington (premier Président des Etats-Unis) avait en réalité créé une monarchie. Le roman se déroule de nos jours, et l’on suit les aventures (surtout sentimentales) des trois enfants du roi actuel.
Béatrice, l’héritière, est amoureuse de son garde du corps – mais ses parents lui préparent un mariage arrangé. Samantha et Jefferson, ses cadets, jumeaux, sont eux aussi amoureux, mais pas des bonnes personnes non plus… Ajoutez à cela une peste qui veut devenir princesse et une roturière complexée qui ne trouve pas sa place, et vous aurez le tableau complet.
Il y a plein de références évidentes à la monarchie anglaise (la rebelle tante Margaret, les tabloïds, etc) et on réalise à peine que l’histoire se déroule aux Etats-Unis. Je pensais que le contexte américain serait beaucoup plus exploité dans l’histoire, c’est le seul bémol que je mets. Sinon, c’est léger et rafraîchissant, avec quelques parenthèses plus sérieuses sur la place des femmes dans les instances de pouvoir, ou encore le poids des traditions ancestrales.
Penguin Books, 440 pages
Je vous présente mon livre de chevet du moment ! Celui que je feuillette dans n’importe quel sens, commençant par les dernières pages, piochant au hasard, relisant des lignes déjà lues.
J’ai toujours un petit pincement dans mon cœur de lectrice quand je sais que j’aborde un dernier tome, surtout quand c’est une série que j’ai autant aimée que « La villa aux étoffes ».
Si le Larzac semble aujourd’hui une terre plutôt isolée, qui ne fait plus trop parler d’elle, c’est aussi un endroit qui a symbolisé dans les années 1970 une lutte pacifique entre les paysans et l’État.
Je ne peux pas lire « tous » les livres qui sortent autour de Agatha Christie… ils sont trop nombreux ! Mais je me laisse souvent tenter, quand même… Et ce roman, qui surfe sur le mystère de la disparition de la célèbre auteure pendant quelques jours, a évidemment fini un jour dans ma PAL…
Je ne sais pas si je serais allée spontanément vers ce roman dont le titre n’était pas assez évocateur pour moi, mais j’ai lu une chronique si enthousiaste sur ce livre que je l’ai acheté dans les jours qui ont suivi.
J’avais laissé la famille Neshov à la fin du tome 4, il y a … quatre ans (quoi ?! déjà ?!). J’ai un peu tardé à commencer ce cinquième tome, alors que j’ai adoré cette saga, tout simplement car j’avais un peu décroché de l’histoire. Allais-je me souvenir des personnages, de l’histoire ?
Si vous cherchez un roman qui vous emmène sous le soleil d’Italie pour un petit air de vacances : vous êtes au bon endroit.
Pour évoquer ce livre, je vais distinguer la forme et le fond.
Paul et Louise sont amoureux, vivent ensemble, se marient. Mais la guerre est déclarée et Paul, qui faisait son service militaire, est appelé à combattre. Dans les tranchées, il voit l’horreur, la mort. Il tente d’échapper à la guerre en se blessant volontairement. Mais cela ne suffit pas.