Grosse déception pour moi sur ce livre…
Je l’avais repéré, j’avais hésité à le lire (pas totalement convaincue par le résumé)… et puis j’ai craqué après avoir lu des avis positifs qui m’avaient rassurée. Ce qui m’a décidée aussi, c’est que les éditions de La Martinière publient par ailleurs « Les dames de Marlow » dont j’ai adoré les deux premiers tomes.
Hélas je me suis terriblement ennuyée pendant cette lecture.
Priscilla Tempest est attachée de presse au Savoy, un hôtel de luxe, dans les années 1960. Elle y voit défiler des personnalités (Elizabeth Taylor, Richard Burton, la princesse Margaret,…) mais la règle d’or est toujours la discrétion. Sauf que cette discrétion est mise à mal par la découverte, à quelques jours d’intervalle, de deux hommes morts. Et à chaque fois, Priscilla était à leurs côtés.
Si je me suis ennuyée, c’est avant tout car les personnages et les pistes d’enquête m’ont semblé caricaturaux et n’ont pas réussi à me convaincre (les histoires d’espions, ce n’est pas mon truc). Pourtant les chapitres sont très courts, ce qui donne normalement du rythme, mais cela ne m’a pas suffi. A la moitié du livre, je n’avais qu’une envie, c’est de le reposer. Dommage, ce livre n’était pas pour moi, et je ne lirai pas les suivants.
Un petit point positif quand même pour terminer, la belle-mère du directeur de l’hôtel apporte une pointe d’amusement et une histoire parallèle bienvenue pour compléter l’histoire principale.
Editions de la Martinière, 416 pages, 14,90€
Sans nul doute, c’est la médiatisation de l’exposition sur « Ramsès II » qui m’a donné envie de me plonger dans un roman qui parle d’Egypte. Naturellement, un peu par facilité, mon choix s’est orienté vers un romancier connu pour ses nombreux ouvrages sur l’Egypte, et j’ai choisi son roman le plus célèbre. Avec « Champollion l’Egyptien » de Christian Jacq, je pensais partir sur les traces du premier à avoir traduit les hiéroglyphes – et donc je pensais que le livre m’éclairerait sur sa méthode, ses découvertes, son cheminement intellectuel.
Les années ont passé, Manon est devenue une jolie jeune fille de quinze ans, sauvage et libre. Elle garde toujours ses chèvres dans les collines, et évite les contacts avec les villageois des Bastides blanches.
J’ai vu plusieurs fois, il y a longtemps, les films « Jean de Florette » et « Manon des sources » avec Yves Montand, Gérard Depardieu, Daniel Auteuil, Emmanuelle Béart… Pourtant il a fallu attendre que je regarde la première version de « Manon des sources », avec Jacqueline Pagnol, pour avoir envie de lire les romans.
Nul n’a oublié Rosemary, jeune femme pleine de vie, qui s’est pourtant donné la mort. Près d’un an plus tard, son mari, sa sœur, ses prétendants, ne l’ont pas oubliée. Avait-elle une double vie, des secrets bien gardés ? Qu’est-ce qui a pu la conduire au suicide ? Et après tout : s’est-elle vraiment suicidée ?
Le Livre de poche, 256 pages, 6,40€
Ce livre est une déclaration d’amour à Agatha Christie.
Je ne vous présente plus Agatha Raisin, ancienne business woman dans la communication, reconvertie en détective dans les Cotswolds. Avec ce 32
Je suis tellement contente à chaque fois qu’un nouveau tome des enquêtes du Commissaire Dupin est publié ! Je suis toujours sûre de passer un bon moment, dans une Bretagne charmante et intrigante, magnifiée à travers les yeux de Dupin, le Parisien installé depuis maintenant dix ans en terre bretonne.
Feuilleter ce livre m’a tout de suite envie de le lire. Quel était donc cet étrange objet littéraire non identifié, ni roman, ni bande dessinée, ni vraiment roman graphique… inclassable, quoi. Une preuve ? Les personnages sont… des ronds.
J’avais beaucoup aimé la lecture de «