Ainsi s’achève l’incroyable, l’incomparable saga « Blackwater ».
Les années ont passé, Elinor est moins présente même si elle reste la matriarche de la famille Caskey. Le lecteur s’est habitué aux quelques scènes fantastiques – et bien que ce soit cet aspect du roman qui m’ait fait hésiter à le lire, je me suis surprise à attendre dans ce tome les passages de métamorphose, à attendre d’avoir plus de détails et de « comprendre ».
Ma grande inquiétude dans les premiers tomes était de refermer le dernier tome sans avoir obtenu de réponse. Au final, j’en ai eu certaines, au moins suffisamment pour ne pas rester complètement dans l’obscurité. Quelques interrogations qui subsistent et laissent le lecteur imaginer ou interpréter certaines situations comme il le souhaite.
Je referme cette saga avec le sentiment d’avoir eu entre les mains non seulement six jolis ouvrages bien travaillés, mais aussi une saga comme je n’en avais jamais lue, et qui va me suivre encore longtemps.
Monsieur Toussaint Louverture, env.250 pages, 8,40€